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Photo: Swen Pfortner/dpa
Reiner Fuellmich condamné à 3 ans et 9 mois de prison
Le tribunal de Göttingen a rendu son verdict. Le jugement préparé a été prononcé. Le président Schindler est débarrassé, pour l’instant, du courageux et récalcitrant militant des droits civiques. Et comme celui-ci l’a agacé, il refuse de lui imputer les cinq mois de détention provisoire pour cause de retard dans la procédure. Voilà qui en dit long sur le revanchisme des magistrats en robe.Cela aussi était prévisible dans un procès qui bafouait toute l’État de droit et qui reposait dès le départ sur des accusations absurdes. Qu’il en soit ainsi. Fuellmich n’en a pas fini avec le système. Et il n’est pas seul. Le véritable combat ne fait que commencer, à la veille des grandes catastrophes que les ploutocrates ont prévues pour l’humanité.
Ceux qui, dans l’affaire Fuellmich, avaient misé sur un État de droit fonctionnant en RFA avaient certes de bons espoirs, mais ils faisaient également preuve d’une naïveté fondamentale. Le système qui vient de condamner Fuellmich à une longue peine de prison n’a pas non plus fait preuve de délicatesse dans ses relations avec d’autres détracteurs des abus qui règnent dans le pays. Les propos critiques sont souvent punis plus sévèrement que les viols collectifs et les actes de violence les plus graves.
Bien qu’il soit clair depuis longtemps que les soi-disant « vaccinations » constituent une thérapie génique pathogène et mortelle, les médecins qui ont sauvé la vie de leurs patients en leur délivrant des certificats de vaccination ou d’inaptitude à la vaccination sont condamnés. À leur place, les complices du plus grand crime contre l’humanité reçoivent désormais des médailles d’honneur et des distinctions. Les acteurs du côté obscur aiment se décerner eux-mêmes les prix. Si les médecins étaient acquittés parce que leurs actes étaient motivés par un état de nécessité, cela aurait des conséquences inimaginables pour le système.
Le système devrait non seulement annuler toutes les erreurs judiciaires, indemniser les personnes condamnées à tort et présenter ses excuses, mais il devrait également reconnaître que toutes les mesures prises jusqu’à présent étaient illégales et nuisibles (tant sur le plan sanitaire qu’économique) et que les responsables de ces mesures devaient être poursuivis en justice. Une fois que des jugements confirmant ce qui a déjà été publié depuis longtemps dans d’autres pays, à savoir que toutes les mesures étaient illégales et nuisibles (tant sur le plan sanitaire qu’économique) et que les responsables de ces mesures le savaient ou auraient dû le savoir à tout moment et qu’ils portent également une responsabilité économique, seraient rendus publics, cela signifierait l’effondrement de l’ensemble du système.
Chaque entreprise, chaque employé a des droits à faire valoir contre le comportement délibérément préjudiciable des autorités qui, dans le cadre d’une guerre orchestrée au niveau international contre la population, ont docilement décrété toutes les mesures absurdes qui leur étaient imposées. Or, tous les organes décisionnaires savaient qu’il n’y avait à aucun moment de risque épidémique. Il n’y a jamais eu de pandémie.
Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles le système cherche à emprisonner Reiner Fuellmich. L’une d’elles est sa capacité à démanteler la mise en scène perverse de la « pandémie » de coronavirus et à désigner les coupables. Ce n’est pas un hasard si les dossiers judiciaires contiennent des références au « coronavirus ». Pire encore : Fuellmich est en mesure d’engager les démarches juridiques appropriées au niveau national et international afin de traduire les responsables en justice ou, à tout le moins, de mettre en évidence l’ampleur du crime.
Et contrairement aux nombreux juristes prétentieux de la « scène de l’information » qui se sont acharnés contre lui après avoir profité de son énergie pendant des années, Fuellmich ne ferait aucun compromis. Alors que de nombreux juristes de pacotille, imbus d’eux-mêmes, se font passer pour des « informateurs » et collectent des dons, Fuellmich a risqué sa réputation et sa fortune pour la bonne cause et se trouve maintenant en prison. Le danger est-il écarté, Fuellmich est-il neutralisé ?
Au-delà de son expertise en matière de « coronavirus », Fuellmich a, au cours des derniers mois de son travail d’information, plongé de plus en plus profondément dans le terrier du lapin, où se reflètent les véritables crimes des ploutocrates contre l’humanité. Traite d’êtres humains organisée à l’échelle internationale, trafic d’enfants, abus sexuels systématiques et rituels sur des enfants, infanticides, trafic d’organes, blanchiment d’argent. Fuellmich avait enfin mis le doigt sur les crimes les plus graves et sur les auteurs qui se cachaient derrière. Est-ce un hasard si c’est précisément à ce moment-là que le militant des droits civiques a été victime d’un enlèvement orchestré ?
Un avocat aussi combatif représente un énorme potentiel de nuisance pour les dirigeants s’il est en liberté. Il y a donc trois possibilités : 1. On achète le militant des droits civiques. Malheureusement, cela n’est pas possible – Fuellmich n’a pas de prix (même maintenant qu’on lui a pris sa fortune et sa liberté). 2. On le tue – cela serait encore possible. Même dans le cadre d’une exécution normale, il pourrait rapidement faire un infarctus ou se voir offrir de manière soudaine et inattendue un suicide non annoncé. Ou 3. : on le maintient en détention jusqu’à ce qu’il soit oublié, s’assurant ainsi que son esprit ne s’échappe pas de la bouteille de l’institution. Derrière cela se cache la croyance erronée que Fuellmich pourrait abandonner. Or, une seule chose pourrait apaiser Fuellmich : la justice. Pour les personnes, pour lui-même et pour les milliers d’auteurs et de complices en Allemagne et au-delà.
Les dés sont jetés pour aujourd’hui. Mais la dernière partie vient seulement de commencer.
